Ici tu ne trouveras pas, pas un bar pour t'y reposer
DerriÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂère, le vin rouge du comptoir n'aura pas le mÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂême goÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂût
Oh! ici tu es bien loin
Tu es bien loin, tu es bien loin
Des rues rues chaudes de Paris
Ici pas un banc pour flÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂâner
Pas mÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂême la Seine pour s'y noyer
Pas de coin de rue pour disparaÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂître
Pas de mÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂétro pour filer
Oh! ici tu es bien loin
Tu es bien loin, tu es bien loin
Des rues rues chaudes de Paris
Tout est bouclÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂé aprÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂès sept heures
Des avenues comme des mains
Ici tout est fait pour courir et qu'ils aillent au plus vite
Oh! ici tu es bien loin
Tu es bien loin, tu es bien loin
Des rues rues chaudes de Paris
La gare de banlieue sent la pisse
Le vent y souffle comme sur la mer
Je ne veux pas y retourner, pas morte
Ni merde, ni mÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂère de famille
Oh! ici tu es bien loin
Tu es bien loin, tu es bien loin
Des rues rues chaudes de Paris
L'accordÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂéon qui me raccompagne
Toutes les nuits quand je suis saoul
Ne pourra pas me raccompagner
Plus loin que les portes du periphÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂérique
J'aime Paris quand il fait froid dehors
Et qu'on s'enferme dans les petits bars
J'aime Paris, Paris la nuit
Paris, oh oui, ÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂÃÂça oui.
Paris, Paris, Paris