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NOVE SED NON NOVA Video (MV)






APPARTEMENT MENTAL - NOVE SED NON NOVA Lyrics




Non nova sed nove


Agrémentée d'exquises arabesques sur les dunes une éclipse de Lune à jamais, enfouie dans les restes de ton encéphale, tendre et pâle, le cancer a revu ton avenir à la baisse. Je n'entends que tes prières assourdissantes. Abasourdi, c'est jouissif de te voir assouvi, enfant grandissant, tu mérites la sourdine aux délires abrutissants, la croissance aboutit.
Encore un classique parsemé d'acide. Paranoïaque et agressif. Pardonnez ma misanthropie, mon panorama est adhésif. Paranormal et abjecte, pas de morale, c'est parfait. Paradoxal et amer, Appartement Mental, ouais ! Nicotine dans la peau, misogyne dans la forme, Shure dans la paume, stylo bille dans la poche, je suis le ver dans la pomme. Ça te blesse quand j'arbore mes peines, t'es d'accord. Je suis le glaive et la rose.
La nouveauté vénère. OVNI prêt pour un saut dans le vide. Novices et naïfs ne savent ce que vaut le venin de nos veines, les vérins de nos vices sont nos voix dans vos villes. Vissé dans une vie à vomir, vide vile et vicieuse survivre ainsi ventre visqueux visage livide vision vitreuse. Le calice est vide.
Les monstres se réveillent quand le sommeil me fuit. Chacun a ses raisons de ne pas nettoyer devant sa porte. Tout le monde donne des leçons quand les douleurs s'ébruitent. A chacun sa raison puisque l'on est ce que l'on s'accorde.
Une fissure me regarde en coin, je cours à fond jusqu'au bord du gouffre. Je sais qu'ils m'écoutent et qu'ils savent que je sais, si je cède à mes doutes, je les aide, je le fait. Je perds mon équilibre, le précipice me transperce. Je sème mon discrédit, je plaide et je prie, je me ferme et je puise mes forces dans le sillage de vos absences et des sentiments déclinables. Un épisode inévitable, une équinoxe de vérité, des ecchymoses en héritage, de l'eau de rose en jerricans, une épidémie délicate, une existence de série B.
En conquérant le titre, ils se paient ta tête, c'est pas en léchant les vitrines que tu paies ta dette. Un beat, un but : faire bouger ta tête, que t'aies choisi de te coucher ou envie de faire la fête. Tu peux pas décrocher, mon flow ricoche et te cogne comme les pires crochets. Le bit crusher agit, aaazzzi, tu veux te venger au cutter depuis qu'on t'a mis de côté. Techniquement édifiant l'existence s'exhibe en exigeant l'évidence trépidante inhérente à qui s'y méprend. Bienvenue à vous dans la valse des vipères et des vautours. Pour préciser les contours, faut saisir les idées maitresses, déstresse et puis laisse la merde autour.
Les monstres se réveillent quand le sommeil me fuit. Chacun a ses raisons de ne pas nettoyer devant sa porte. Tout le monde donne des leçons quand les douleurs s'ébruitent. A chacun sa raison puisque l'on est ce que l'on s'accorde.
Chroniques d'une société monochrome et polie, d'êtres vivants désynchronisés, d'une solitude intronisée. De la folie pure. Alcoolisés par habitude, organisés dans la collision, carbonisés par lassitude, sacralisés dans la confusion standardisée.
Fumigène dans la foule. Funambules sur le fil. Une étape sur la route. Silhouettes dans la ville. C'est trop tard pour le doute. Pirouette dans le vide. Automates dans la course. Pyromanes pour le style.
Je dépeins mes crises, des pleins, des déliés, des litres de plaisir, des délices et des craintes, des plaintes et des délires, des amours pétillantes, des phoenixs et des flingues, des passions ennemies, des mains sales et des plaies, un sale récital, un désir animal, des biatches et des fées, des visages éphémères qui se cachent et se taisent, des images délétères qui t'écartent et te saignent.
Compte les corps et les clones qui éclosent, et le temps qu'on déplore, et le sang qu'on dépose dans un sombre décor, le poison qu'on épouse, ces cloisons qui étouffent et ces choses qui dévorent, la raison qui s'érode, fatiguée d'être le glaive et la rose dans des murs qui s'écroulent et l'espoir qui s'étiole, tout ce qui en découle, et ces voix qui résonnent, nos envies qui s'émoussent.
Les monstres se réveillent quand le sommeil me fuit. Chacun a ses raisons de ne pas nettoyer devant sa porte. Tout le monde donne des leçons quand les douleurs s'ébruitent. A chacun sa raison puisque l'on est ce que l'on s'accorde.
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Agrémentée d'exquises arabesques sur les dunes une éclipse de Lune à jamais, enfouie dans les restes de ton encéphale, tendre et pâle, le cancer a revu ton avenir à la baisse. Je n'entends que tes prières assourdissantes. Abasourdi, c'est jouissif de te voir assouvi, enfant grandissant, tu mérites la sourdine aux délires abrutissants, la croissance aboutit.
Encore un classique parsemé d'acide. Paranoïaque et agressif. Pardonnez ma misanthropie, mon panorama est adhésif. Paranormal et abjecte, pas de morale, c'est parfait. Paradoxal et amer, Appartement Mental, ouais ! Nicotine dans la peau, misogyne dans la forme, Shure dans la paume, stylo bille dans la poche, je suis le ver dans la pomme. Ça te blesse quand j'arbore mes peines, t'es d'accord. Je suis le glaive et la rose.
La nouveauté vénère. OVNI prêt pour un saut dans le vide. Novices et naïfs ne savent ce que vaut le venin de nos veines, les vérins de nos vices sont nos voix dans vos villes. Vissé dans une vie à vomir, vide vile et vicieuse survivre ainsi ventre visqueux visage livide vision vitreuse. Le calice est vide.
Les monstres se réveillent quand le sommeil me fuit. Chacun a ses raisons de ne pas nettoyer devant sa porte. Tout le monde donne des leçons quand les douleurs s'ébruitent. A chacun sa raison puisque l'on est ce que l'on s'accorde.
Une fissure me regarde en coin, je cours à fond jusqu'au bord du gouffre. Je sais qu'ils m'écoutent et qu'ils savent que je sais, si je cède à mes doutes, je les aide, je le fait. Je perds mon équilibre, le précipice me transperce. Je sème mon discrédit, je plaide et je prie, je me ferme et je puise mes forces dans le sillage de vos absences et des sentiments déclinables. Un épisode inévitable, une équinoxe de vérité, des ecchymoses en héritage, de l'eau de rose en jerricans, une épidémie délicate, une existence de série B.
En conquérant le titre, ils se paient ta tête, c'est pas en léchant les vitrines que tu paies ta dette. Un beat, un but : faire bouger ta tête, que t'aies choisi de te coucher ou envie de faire la fête. Tu peux pas décrocher, mon flow ricoche et te cogne comme les pires crochets. Le bit crusher agit, aaazzzi, tu veux te venger au cutter depuis qu'on t'a mis de côté. Techniquement édifiant l'existence s'exhibe en exigeant l'évidence trépidante inhérente à qui s'y méprend. Bienvenue à vous dans la valse des vipères et des vautours. Pour préciser les contours, faut saisir les idées maitresses, déstresse et puis laisse la merde autour.
Les monstres se réveillent quand le sommeil me fuit. Chacun a ses raisons de ne pas nettoyer devant sa porte. Tout le monde donne des leçons quand les douleurs s'ébruitent. A chacun sa raison puisque l'on est ce que l'on s'accorde.
Chroniques d'une société monochrome et polie, d'êtres vivants désynchronisés, d'une solitude intronisée. De la folie pure. Alcoolisés par habitude, organisés dans la collision, carbonisés par lassitude, sacralisés dans la confusion standardisée.
Fumigène dans la foule. Funambules sur le fil. Une étape sur la route. Silhouettes dans la ville. C'est trop tard pour le doute. Pirouette dans le vide. Automates dans la course. Pyromanes pour le style.
Je dépeins mes crises, des pleins, des déliés, des litres de plaisir, des délices et des craintes, des plaintes et des délires, des amours pétillantes, des phoenixs et des flingues, des passions ennemies, des mains sales et des plaies, un sale récital, un désir animal, des biatches et des fées, des visages éphémères qui se cachent et se taisent, des images délétères qui t'écartent et te saignent.
Compte les corps et les clones qui éclosent, et le temps qu'on déplore, et le sang qu'on dépose dans un sombre décor, le poison qu'on épouse, ces cloisons qui étouffent et ces choses qui dévorent, la raison qui s'érode, fatiguée d'être le glaive et la rose dans des murs qui s'écroulent et l'espoir qui s'étiole, tout ce qui en découle, et ces voix qui résonnent, nos envies qui s'émoussent.
Les monstres se réveillent quand le sommeil me fuit. Chacun a ses raisons de ne pas nettoyer devant sa porte. Tout le monde donne des leçons quand les douleurs s'ébruitent. A chacun sa raison puisque l'on est ce que l'on s'accorde.
[ Correct these Lyrics ]
Writer: Pierre Yves FILY
Copyright: Lyrics © SECURIGHTS INC, LALOULINE EDITIONS


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