Back to Top

Sans le savoir Video (MV)




Performed By: Cosmose
Language: French
Length: 3:46
Written by: Felix Fay




Cosmose - Sans le savoir Lyrics




Ouais c´est vrai
Ouais c´est vrai
Ouais c´est vrai

Je n'ai jamais su rassembler les pièces du puzzle de mes peines qui sont éparpillées
Je n'ai jamais su me sentir vivre parmi la foule de gens, et c´est pas moi le méchant Mais personne me comprend
Quand même on me prend pour un fou car je bouscule et je dérange l'étang
Je fais des vagues, je crée le courant
Je crée l'espace je suis le temps

Je n'ai jamais su m´aventurer dans les tréfonds de mon passé et ça sans tressaillir
Avant-hier avais-je déjà aimé ? Avais-je déjà haï

Je n'ai jamais su redonner cœur et âme a la personne de mon choix
Car ici bat git mon p'tit cœur qui crie tout bas
Car je sais ce que c´est de se sentir comme un lâche
Dans la mer tel un navire sans attache

Je n'ai jamais su écouter mon instinct qui voulait que je parte avant l'orage avant
Que l'éclair ne s'abatte
Et que les cartes ne me battent

Attiré par l'abîme
Un baiser des plus sublimes
Qui restera dans mes lignes
Perdu dans l'encre de ma plume

Je n'ai jamais su ignorer mes pulsions qui me prennent quand tout va mal
Quand l'aube ne semble jamais se dessiner avant le drame
Je me réveille merde j´suis dans les mauvais draps

Je n'ai jamais su fuir tout ce monde comme une étoile filante
Malgré les cauchemars qui me hantent
Je passe plus la nuit tranquillement
Elle m'a dit tue moi gentiment
Un verre un shot et puis encore un autre
Mais à présent si loin
Je suis l'étranger
Je suis le
Cosmonaute

Je n'ai jamais su vivre tout à fait l'instant actuel
Car trop souvent j'suis pas présent
Car dès que j´écris je suis absent
Parfois montée parfois descente
J'attends la fin, l'éclair les cendres

Ce qui me suivent venez qu'on se captent
Et qu'on échange des trucs tristes
Pt que ça calmera nos intentions destructrices

J'suis parti du rivage j'ai bien ramé
Et puis en pleine tempête on m'a lâché
Par celle qu'j'appelais ma bien-aimée
Depuis je vis dans ma tête comme Mallarmé
Faut que tu sois préparé, fils

Car il y a qu'une seule fois où tu aimes pour la première fois
T'as des doutes donc faut la foi
Malgré les larmes et tout l'émoi

Les anges se lèveront si jamais tu t'endors
Premier baiser comme ouvrir la boite de Pandore
Jveux plus en parler car c'est trop personnel
Jveux que tu m´haïsses autant que je t'aime

Mais je te suis des yeux comme une comète
J'aime tant tes hanches j'aime tes pommettes
Jusqu´au p´tit matin moi je t´écris des poèmes
Pour enfin mener la vie d'bohème

Je me penche il y a du sang sur le parquet
Et l'empreinte de tes lèvres sur le tarpet

Je suis attiré par l'abîme
Un baiser des plus sublimes
Qui restera dans mes lignes
Perdu dans l'encre de ma plume

Faut qu'je fasse le tri de mes pulsions
Que mon petit cœur cesse ses émulsions
Qui provoque en moi ces convulsions

La matière, les ténèbres et les roses
Plus de sens ni de forme ou de proses
On retourne à la fin pour l'instant
Car à présent plus rien de certain

Et demain viendra si on le veut
Le jour fini si on se lève
Alors laissons donc le silence
Décider pour nos lèvres
[ Correct these Lyrics ]

[ Correct these Lyrics ]

We currently do not have these lyrics. If you would like to submit them, please use the form below.


We currently do not have these lyrics. If you would like to submit them, please use the form below.


French

Ouais c´est vrai
Ouais c´est vrai
Ouais c´est vrai

Je n'ai jamais su rassembler les pièces du puzzle de mes peines qui sont éparpillées
Je n'ai jamais su me sentir vivre parmi la foule de gens, et c´est pas moi le méchant Mais personne me comprend
Quand même on me prend pour un fou car je bouscule et je dérange l'étang
Je fais des vagues, je crée le courant
Je crée l'espace je suis le temps

Je n'ai jamais su m´aventurer dans les tréfonds de mon passé et ça sans tressaillir
Avant-hier avais-je déjà aimé ? Avais-je déjà haï

Je n'ai jamais su redonner cœur et âme a la personne de mon choix
Car ici bat git mon p'tit cœur qui crie tout bas
Car je sais ce que c´est de se sentir comme un lâche
Dans la mer tel un navire sans attache

Je n'ai jamais su écouter mon instinct qui voulait que je parte avant l'orage avant
Que l'éclair ne s'abatte
Et que les cartes ne me battent

Attiré par l'abîme
Un baiser des plus sublimes
Qui restera dans mes lignes
Perdu dans l'encre de ma plume

Je n'ai jamais su ignorer mes pulsions qui me prennent quand tout va mal
Quand l'aube ne semble jamais se dessiner avant le drame
Je me réveille merde j´suis dans les mauvais draps

Je n'ai jamais su fuir tout ce monde comme une étoile filante
Malgré les cauchemars qui me hantent
Je passe plus la nuit tranquillement
Elle m'a dit tue moi gentiment
Un verre un shot et puis encore un autre
Mais à présent si loin
Je suis l'étranger
Je suis le
Cosmonaute

Je n'ai jamais su vivre tout à fait l'instant actuel
Car trop souvent j'suis pas présent
Car dès que j´écris je suis absent
Parfois montée parfois descente
J'attends la fin, l'éclair les cendres

Ce qui me suivent venez qu'on se captent
Et qu'on échange des trucs tristes
Pt que ça calmera nos intentions destructrices

J'suis parti du rivage j'ai bien ramé
Et puis en pleine tempête on m'a lâché
Par celle qu'j'appelais ma bien-aimée
Depuis je vis dans ma tête comme Mallarmé
Faut que tu sois préparé, fils

Car il y a qu'une seule fois où tu aimes pour la première fois
T'as des doutes donc faut la foi
Malgré les larmes et tout l'émoi

Les anges se lèveront si jamais tu t'endors
Premier baiser comme ouvrir la boite de Pandore
Jveux plus en parler car c'est trop personnel
Jveux que tu m´haïsses autant que je t'aime

Mais je te suis des yeux comme une comète
J'aime tant tes hanches j'aime tes pommettes
Jusqu´au p´tit matin moi je t´écris des poèmes
Pour enfin mener la vie d'bohème

Je me penche il y a du sang sur le parquet
Et l'empreinte de tes lèvres sur le tarpet

Je suis attiré par l'abîme
Un baiser des plus sublimes
Qui restera dans mes lignes
Perdu dans l'encre de ma plume

Faut qu'je fasse le tri de mes pulsions
Que mon petit cœur cesse ses émulsions
Qui provoque en moi ces convulsions

La matière, les ténèbres et les roses
Plus de sens ni de forme ou de proses
On retourne à la fin pour l'instant
Car à présent plus rien de certain

Et demain viendra si on le veut
Le jour fini si on se lève
Alors laissons donc le silence
Décider pour nos lèvres
[ Correct these Lyrics ]
Writer: Felix Fay
Copyright: Lyrics © O/B/O DistroKid

Back to: Cosmose

Tags:
No tags yet