Que le malheur soit farce et la douleur en panne
Et que les pleurs éparses dans les cœurs se fanent
Et puis se meurent, à la bonne heure!
Pour en faire tout mon bonheur
En toute impunité, tu as choisis d'aimer
Mon cœur qui t'as aimé, comme si de rien n'était
Pourquoi en toi tant d'animosité?
Pourquoi en toi tant d'agressivité?
L'encre de Chine dans tes veines
L'encre dessine toutes mes peines
(Oh-oh-oh-oh)
L'encre rechigne à s'écouler
Dans mes veines qui viennent de pleurer
(Oh-oh-oh-oh)
Pourtant tu m'avais montré tant de grâce dans
Tes mouvements laissés sur la banquette arrière
Plus jamais de ma vie je ne t'aimerais si
C'est pour que tu me pris de t'aimer comme un frère
Mon cœur ne cesse de trébucher sur cette pierre fossilisée
Incrustée de tourments, prières inachevées
Les beaux et longs discours que tu tenais étaient
Des monologues sourds façonnant ton rejet
L'encre de Chine dans tes veines
L'encre dessine toutes mes peines
(Oh-oh-oh-oh)
L'encre rechigne à s'écouler
Dans mes veines qui viennent de pleurer
(Oh-oh-oh-oh)
L'encre de Chine dans tes veines
L'encre dessine toutes mes peines
L'encre rechigne à s'écouler
Dans mes veines qui viennent de pleurer
L'encre de Chine dans tes veines
L'encre dessine toutes mes peines
(Oh-oh-oh-oh)
L'encre rechigne à s'écouler
Dans mes veines qui viennent de pleurer
(Oh-oh-oh-oh)
L'encre de Chine a tant de peine
L'encre déchire toutes mes veines
(Oh-oh-oh-oh)
L'encre rechigne à s'imprimer
Dans mes veines qui se sont coupées
(Oh-oh-oh-oh)
Et pour l'amour de chair et pour l'amour de deux
Il faut que tu resserre cet impossible nœud
Laissons encore le temps faire de nouveaux heureux
Même si ce dernier tend à être déjà vieux
L'encre de Chine dans tes veines
L'encre dessine toutes mes peines
(Oh-oh-oh-oh)
L'encre rechigne à s'écouler
Dans mes veines qui viennent de pleurer
(Oh-oh-oh-oh)
L'encre de Chine a tant de peine
L'encre déchire toutes mes veines
(Oh-oh-oh-oh)
L'encre rechigne à s'imprimer
Dans mes veines qui se sont vidées
(Oh-oh-oh-oh)
Et pour l'amour de chair et pour l'amour de deux
Il faut que tu resserre cet impossible nœud
Laissons encore le temps faire de nouveaux heureux
Même si ce dernier tend à être déjà vieux