Quand tu ris, quand tu pries, quand tu regardes de la vie
Quand tu pars, dans le noir, devant Dieu et les regards
Qui fantasment, sur ton être, aspirés par ta silhouette
A la quête, de ton ombre, hypnotisés par une bombe
Quand le ciel, te rappelle, que tu es une demoiselle
Que la cour et l'amour, apparaitront bien un jour
Que les larmes, sont tes armes, et font partie de ton charme
Qu'un sourire, même un rire, ne pourront pas se détruire
Que la rue, le trottoir, s'arrêteront, un jour, un soir
Que l'avenir, c'est partir, Marrakech ou Agadir
Que c'est beau, de rêver, de pouvoir tout effacer
Tu seras, bien là-bas, c'est tranquille, c'est chez toi
Oublié, ton passé, t'as fini par y'arriver
T'es heureuse, dans la Creuse, dans une rivière boueuse
Où t'as pris, ton élan, c'était le début du printemps
Ta voiture, sans armure, s'est jetée à vive allure
Quand tu pleures, quand tu meures, quand tu souffres de douleur
Quand le temps, se suspend, et que la lumière se rend
Que le ciel, s'assombrit, se remplit de rage et cri
Que la lune, se rend compte, qu'elle va recevoir une bombe