J'habite actuellement dans une maison de retraite.
C'est difficile de finir ainsi quand on a vu autant du monde.
Est-ce que j'ai souri ?
Je sais que j'ai dansé devant vous.
Je vendais des arbres en fer dans la rue des commerces.
Je suis une ephémère que vos regards renversent.
Les rues de pretoria sont vides
Le vent s'étale dans les townships
Les allées de joburg
Où celles de pretoria
On un point commun
Un point de couleur
Partout cette même poussière dans l'air.
Partout cette même poussière dans l'air.
Cette même poussière dans l'air
Dans les cheveux des grandes villes
Aux tables d'étranges endroits
Dans les vents chauds qui coiffent les incendies
Dans les livres qui contiennent les forêts d'autrefois
Partout cette même poussière dans l'air.
Cette même poussière dans l'air
Je n'ai pas envie de digérer des agonies
Les autoroutes s'étendent en avant
Brûlent de leur peau de serpent.
Le sifflement de l'air sur la fenêtre nous envoûte.
Nous avons croisé les agriculteurs d'hier
Ils faisaient un grand ecart avec leurs yeux
Nous avons ecouté l'autre
Celui qui parlait
Ses mains etaient un livre ouvert
Partout cette même poussière dans l'air.
Cette même poussière dans l'air
Dans les vents chauds qui coiffents les incendies
Dans les livres qui contiennent les forêts d'autrefois
Cette même poussière dans l'air
Voulvoul i vol, i vol, i vol si la tèr maloya
Voulvoul i vol si la tèr maloya
Voulvoul i vol si la tèr maloya
Voulvoul i vol, i vol, i vol si la tèr maloya
Voulvoul i vol si la tèr maloya
Si la tèr maloya