Back to Top

UN SOIR AU GERPIL Video (MV)






Hervé Vilard - UN SOIR AU GERPIL Lyrics




[ Featuring Mouloudji, Bernard DIMEY ]

Les heures que j'ai passées à m' finir au Gerpil
Avec des filles de rien que j'appelais Monsieur
Qui f'saient vibrer pour moi leurs miches et leurs faux cils
Pour m'envoyer, le soir, un peu de poudre aux yeux
C'était des heures perdues que je gagnais quand même
J'y perdais l'équilibre et parfois la raison
Aux dernières années de ma vie de bohème
Avec des enfants de chœur qui sortaient de prison

C'est une maladie, comme on dit, de jeunesse
Je suis un vieux gamin assez mal conservé

J'ai toujours adoré les chemins de traverse
Qui vont du Sacré-Cœur aux quartiers réservés
Je ne demande rien aux gens que je fréquente
Qu'ils soient flics ou curés, à vrai dire je m'en fous
Des mâles à toute épreuve, égarés chez les tantes
Pour prendre un peu leur pied ou pour se faire des sous

C'est peut-être au Gerpil, à l'heure du délire
A l'heure où l'on zigzague, en croyant marcher droit
Que j'ai vu mélanger le meilleur et le pire
Et la droite et la gauche et l'envers et l'endroit
Et mourir quelquefois, un peu comme on rigole
Spectacles étonnants qui ne m'ont rien appris

Pourtant ce fut pour moi une excellente école
Car ce qui ne vaut rien n'a jamais eu de prix
[ Correct these Lyrics ]

[ Correct these Lyrics ]

We currently do not have these lyrics. If you would like to submit them, please use the form below.


We currently do not have these lyrics. If you would like to submit them, please use the form below.


French

Les heures que j'ai passées à m' finir au Gerpil
Avec des filles de rien que j'appelais Monsieur
Qui f'saient vibrer pour moi leurs miches et leurs faux cils
Pour m'envoyer, le soir, un peu de poudre aux yeux
C'était des heures perdues que je gagnais quand même
J'y perdais l'équilibre et parfois la raison
Aux dernières années de ma vie de bohème
Avec des enfants de chœur qui sortaient de prison

C'est une maladie, comme on dit, de jeunesse
Je suis un vieux gamin assez mal conservé

J'ai toujours adoré les chemins de traverse
Qui vont du Sacré-Cœur aux quartiers réservés
Je ne demande rien aux gens que je fréquente
Qu'ils soient flics ou curés, à vrai dire je m'en fous
Des mâles à toute épreuve, égarés chez les tantes
Pour prendre un peu leur pied ou pour se faire des sous

C'est peut-être au Gerpil, à l'heure du délire
A l'heure où l'on zigzague, en croyant marcher droit
Que j'ai vu mélanger le meilleur et le pire
Et la droite et la gauche et l'envers et l'endroit
Et mourir quelquefois, un peu comme on rigole
Spectacles étonnants qui ne m'ont rien appris

Pourtant ce fut pour moi une excellente école
Car ce qui ne vaut rien n'a jamais eu de prix
[ Correct these Lyrics ]
Writer: Bernard DIMEY, Gabriel WAGENHEIM, Marcel MOULOUDJI
Copyright: Lyrics © PRODUCTIONS MOULOUDJI


Tags:
No tags yet