Hier encore, ma confiance suivait chacun de tes pas
Un souffle, un seul, innocent et tu n'es plus là
Hier encore, une vie de rêve au creux de tes bras
Un souffle, un seul, anodin et tu n'es plus là
Hier encore ma joie vibrait au plus profond de toi
Quand les rêves vacillent, la fuite est si facile
Mais je t'aime, je t'aime dans cette forêt d'immeubles et de braises
Oh ma haine Oh ma haine, j'ai besoin de toi
Pour apaiser cette douleur qui ne s'en va pas.
Oh ma haine Oh ma haine, j'ai besoin de toi
Je ne vois plus que ta violence pour me sortir de là
Oh ma haine Oh ma haine, ne prends pas le pas
Oh ma haine Oh ma haine, ne t'emballe pas
Hier encore, nous étions 2 enfants dans ce désert
J'ai bien cru que nous serions amis pour la vie entière
Hier encore, je pensais me perdre à prier les Dieux
Devenir une frontière libre entre nos 2 terres
Apprivoiser ton pays comme on apprivoise un rêve
Le suivre au bout malgré le brouillard et tous ses mystères
Quand les rêves vacillent, la fuite est si facile
Mais je t'aime, Je t'aime dans cette forêt d'immeubles et de braises
Oh ma haine Oh ma haine, j'ai besoin de toi
Pour apaiser cette douleur qui ne s'en va pas.
Oh ma haine Oh ma haine, j'ai besoin de toi
Je ne vois plus que ta violence pour me sortir de là
Oh ma haine Oh ma haine, ne prends pas le pas
Sur cet amour aveugle et bête, moteur de mes pas
Oh ma haine Oh ma haine, ne t'emballe pas
Et laisse un peu de cet idiot qui sommeille en moi
Adieu ma peine, Tu es douce mais ne m'aides pas
Adieu ma peine, Je te garde au fond de moi
Adieu ma haine, Tu es folle mais ne m'aide pas
Adieu ma haine, Je pardonne à chaque fois
Adieu les lâches, les connasses qui ne s'assument pas
Adieu les lâches, les girouettes et les trouillards
A mort les sages, les princesses, les Ayatollah
Les idiots comme nous serons bientôt les rois