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Dans le domaine arboré de Moulin Video (MV)






Laurent Pierquin - Dans le domaine arboré de Moulin Lyrics




Dans le domaine arboré de moulin
Bien au calme et à l'ombre des pins
Mon âme trouve le repos
Et mon corps est serein

Mon cœur bat, je respire
J'ai éteint depuis plusieurs jours
La dernière cigarette
Et j'aspire
A entrer dans la tribu des poumons roses
Si je me montre comme je suis
Sans phare et sans paillette
Ils m'accepteront peut-être
Parmi eux Ah ! Si j'ose...

Tel Tom Soyer arpentant la campagne
Longeant le fleuve, construisant des cabanes, courant après Huckleberry
Jouant au chat et à la souris

C'est comme un instinct animal et enfantin qui remonte, qui refait surface
Comme si les années de ville avaient recouvert ces souvenirs et gommé la mémoire
Le sillon creusé dans ma chaire par les courses dans le jardin
Les barbelés du champ des voisins
La précaution en même temps que le soin
Et pourtant la détermination
D'aller voir plus loin
Au delà des barrières
De créer des ponts, des passages secrets, sous-terrains

Jusqu'à passer la nuit dehors
A dormir à la belle
Non on n'aura pas froid
Et on n'aura pas peur
Ce sera la première fois
Inquiétude des parents
D'un père qui en rit
D'une mère qui dit non
Parce qu'on est trop petits
Mais nous on est des grands ! Allez dis oui maman !
Je nous revois aujourd'hui du haut de mes dix ans, à affronter la nuit
Dans le jardin à guetter chaque bruit
Tremblant mais dépassant nos peurs d'enfants

Dans le domaine arboré de moulin
Bien au calme et à l'ombre des pins
Mon âme trouve le repos
Et mon corps est serein
[ Correct these Lyrics ]

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Dans le domaine arboré de moulin
Bien au calme et à l'ombre des pins
Mon âme trouve le repos
Et mon corps est serein

Mon cœur bat, je respire
J'ai éteint depuis plusieurs jours
La dernière cigarette
Et j'aspire
A entrer dans la tribu des poumons roses
Si je me montre comme je suis
Sans phare et sans paillette
Ils m'accepteront peut-être
Parmi eux Ah ! Si j'ose...

Tel Tom Soyer arpentant la campagne
Longeant le fleuve, construisant des cabanes, courant après Huckleberry
Jouant au chat et à la souris

C'est comme un instinct animal et enfantin qui remonte, qui refait surface
Comme si les années de ville avaient recouvert ces souvenirs et gommé la mémoire
Le sillon creusé dans ma chaire par les courses dans le jardin
Les barbelés du champ des voisins
La précaution en même temps que le soin
Et pourtant la détermination
D'aller voir plus loin
Au delà des barrières
De créer des ponts, des passages secrets, sous-terrains

Jusqu'à passer la nuit dehors
A dormir à la belle
Non on n'aura pas froid
Et on n'aura pas peur
Ce sera la première fois
Inquiétude des parents
D'un père qui en rit
D'une mère qui dit non
Parce qu'on est trop petits
Mais nous on est des grands ! Allez dis oui maman !
Je nous revois aujourd'hui du haut de mes dix ans, à affronter la nuit
Dans le jardin à guetter chaque bruit
Tremblant mais dépassant nos peurs d'enfants

Dans le domaine arboré de moulin
Bien au calme et à l'ombre des pins
Mon âme trouve le repos
Et mon corps est serein
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Writer: LAURENT PIERQUIN
Copyright: Lyrics © O/B/O DistroKid


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