Ma bouche est sèche, vide et sans pudeur, faut que je me résolve à l'obscurité
Les soirs d'été j'ai besoin de son odeur, et de m'y plonger pour l'éternité
Ça viendra quand ça pourra
Ça viendra quand ça viendra
Le doigt posé sur la chaleur, mes jambes agitées pas l'obsession
J'irai chercher tout notre bonheur, la phase finale de notre union
Sans crainte je garde la tête sous l'eau, sans triche ça doit submerger mon nez
On en ressort toujours plus fort, de l'amour du maillot