On se pavane, roi de la création
Dans nos costumes, illusion de grandeur
On construit des tours, touchant le ciel
Oubliant qu'au sol, on perd notre cœur
Oh, l'homme, paradoxe sur deux pieds
Capable du meilleur, expert en absurdité
On rit, on pleure, on détruit, on crée
L'homme, cet étrange ballet d'ambiguïtés
On chante l'amour, on prêche la paix
Les mains pleines de sang, un étrange exploit
On rêve d'unité, divisés par nos peurs
Des philosophes en guerre, des pacifistes en pleurs
Oh, l'homme, paradoxe sur deux pieds
Capable du meilleur, expert en absurdité
On rit, on pleure, on détruit, on crée
L'homme, cet étrange ballet d'ambiguïtés
On chante l'amour, on prêche la paix
Les mains pleines de sang, un étrange exploit
On rêve d'unité, divisés par nos peurs
Des philosophes en guerre, des pacifistes en pleurs
Oh, l'homme, paradoxe sur deux pieds
Capable du meilleur, expert en absurdité
On rit, on pleure, on détruit, on crée
L'homme, cet étrange ballet d'ambiguïtés
C'est l'étrange ballet d'ambiguïtés
Sur l'horloge cosmique, frôlant minuit, l'homme s'inscrit
Dans l'éphémère, il écrit
Un récit commence, audacieux
Responsable d'une extinction sous les cieux
Oh, l'homme, paradoxe sur deux pieds
Capable du meilleur, expert en absurdité
On rit, on pleure, on détruit, on crée
L'homme, cet étrange ballet d'ambiguïtés
Et voilà, le rideau tombe sur notre scène
L'homme, cet acteur dans sa comédie à peine
Souriez, applaudissez ou peut-être pleurez
Dans le théâtre de l'absurde, nous sommes tous joués