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Le Signe Du Fugitif Video (MV)




Performed By: Orgo
Language: English
Length: 11:53
Written by: Florian Jacot-Descombes
[Correct Info]



Orgo - Le Signe Du Fugitif Lyrics
Official




Le regard embrassant
Les cieux muets et sans bords
Incarnant un acteur, un cadavre en devenir
Sous une voûte enceinte de flamboyances
J'ai à nouveau essayé de m'enfuir
Perclus d'humidité, suintant les tourments
Cette seconde tentative fut à nouveau vaine
Perclus d'humidité, suintant en ces lieux
Ce fut la première fois où l'on m'avait dénié
Le droit de guérir du printemps qui vibrait en moi
Et que l'on m'avait refusé le contrôle de mes actions
La direction de mes pas
Un couvercle noir
Cachant les vents mauvais
Un couvercle noir
Amenant et scellant au-dessus de nous
Un couvercle noir de fonte et de chagrins
Un couvercle noir et sale, couronné d'un crachin
Elle sait se faire belle et affriolante
Elle nous ment. Nuit après nuit
Seule, -Un couvercle humide et sombre
Au sein de -Un couvercle sous lequel les nuques s'affaissent
Ces ténèbres amorphes
La Ville, languissante, déroule -sous le couvercle, je sortis pour l'attendre
Sa masse confuse -sous le couvercle, je dormis comme un enfant
De cheveux, pétillante de lumière -Vain et éternel
Les routes -des actes de soumission, de parjure et de vanité
Où les âmes nues et fragiles errent
À la recherche d'une quête reconnaissant
L'incomplétude comme sa nature
En cherchant dans la poussière des bas-côtés
Des restes, des carcasses de destins
Enchainées, aveuglées
Ils errent le long de ces infinités de brins irradiants
Enchainées, aveuglées
Jusqu'aux premières fumeroles du matin
Enchainées ! aveuglées
Leurs errances dureront jusqu'au moment
Où la Ville s'éveillera, qui d'un leste geste
Fera glisser son peigne le long de sa chevelure éteinte
La Ville se libérera ainsi de tous les cœurs légers. Déracinés
De toutes les âmes de poussières
De tous ces amas de chair couronnés de grelots
Et tétanisés au bord du Seuil
Elle se libérera ainsi de tous les malheureux et de tous les suicidés
Elle en sera ainsi libérée
J'entends encore son rire quand elle trouva
Un passage au-travers du soupirail, du trou creusé en Sa tête
Afin de fuir les murs fermant les endroits
Où les corps s'agitent, où les corps s'arquent
Dans un acte de soumission performé comme à contrecœur
Ces anciens corps, ces enveloppes glorieuses qui s'émiettent
Jusqu'à produire cette poussière épaisse et humide
Opaque mais évanescente, si vaine mais asphyxiante
Cette poussière n'est au final qu'un Voile
..Pour nos espoirs et nos fautes,
Nos petites bassesses, nos silencieux frissons
Et toutes ces lumières
Qui constellent nos corps
Semblables à des millions de clous
Semblables à des millions de trous
Muchés, occultés derrière toutes nos lourdes couronnes
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English

Le regard embrassant
Les cieux muets et sans bords
Incarnant un acteur, un cadavre en devenir
Sous une voûte enceinte de flamboyances
J'ai à nouveau essayé de m'enfuir
Perclus d'humidité, suintant les tourments
Cette seconde tentative fut à nouveau vaine
Perclus d'humidité, suintant en ces lieux
Ce fut la première fois où l'on m'avait dénié
Le droit de guérir du printemps qui vibrait en moi
Et que l'on m'avait refusé le contrôle de mes actions
La direction de mes pas
Un couvercle noir
Cachant les vents mauvais
Un couvercle noir
Amenant et scellant au-dessus de nous
Un couvercle noir de fonte et de chagrins
Un couvercle noir et sale, couronné d'un crachin
Elle sait se faire belle et affriolante
Elle nous ment. Nuit après nuit
Seule, -Un couvercle humide et sombre
Au sein de -Un couvercle sous lequel les nuques s'affaissent
Ces ténèbres amorphes
La Ville, languissante, déroule -sous le couvercle, je sortis pour l'attendre
Sa masse confuse -sous le couvercle, je dormis comme un enfant
De cheveux, pétillante de lumière -Vain et éternel
Les routes -des actes de soumission, de parjure et de vanité
Où les âmes nues et fragiles errent
À la recherche d'une quête reconnaissant
L'incomplétude comme sa nature
En cherchant dans la poussière des bas-côtés
Des restes, des carcasses de destins
Enchainées, aveuglées
Ils errent le long de ces infinités de brins irradiants
Enchainées, aveuglées
Jusqu'aux premières fumeroles du matin
Enchainées ! aveuglées
Leurs errances dureront jusqu'au moment
Où la Ville s'éveillera, qui d'un leste geste
Fera glisser son peigne le long de sa chevelure éteinte
La Ville se libérera ainsi de tous les cœurs légers. Déracinés
De toutes les âmes de poussières
De tous ces amas de chair couronnés de grelots
Et tétanisés au bord du Seuil
Elle se libérera ainsi de tous les malheureux et de tous les suicidés
Elle en sera ainsi libérée
J'entends encore son rire quand elle trouva
Un passage au-travers du soupirail, du trou creusé en Sa tête
Afin de fuir les murs fermant les endroits
Où les corps s'agitent, où les corps s'arquent
Dans un acte de soumission performé comme à contrecœur
Ces anciens corps, ces enveloppes glorieuses qui s'émiettent
Jusqu'à produire cette poussière épaisse et humide
Opaque mais évanescente, si vaine mais asphyxiante
Cette poussière n'est au final qu'un Voile
..Pour nos espoirs et nos fautes,
Nos petites bassesses, nos silencieux frissons
Et toutes ces lumières
Qui constellent nos corps
Semblables à des millions de clous
Semblables à des millions de trous
Muchés, occultés derrière toutes nos lourdes couronnes
[ Correct these Lyrics ]
Writer: Florian Jacot-Descombes
Copyright: Lyrics © O/B/O DistroKid

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