La quête du grand spasme
Un corps si tendu qu'un seul coup de tambour en expulse l'âme
Dans les entrailles des animaux
Dans les entailles de mon cerveau
Dans les rituels presque oubliés
Dans la coupelle empoisonnée
D'absurde bribes de connaissance
Folles diatribes en déliquescence
Je les plante et les cueille
Dans le champ de ma folie
Des amantes je fais le deuil
L'éblouissement pour seul ami
Hiérophanies
Qu'importe l'enfer vécu
Hiérophanies
Des portes qu'on ne referme plus