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Remy Brezini - Mon ami d'enfance Lyrics



Remy Brezini - Mon ami d'enfance Lyrics




Je conterai aux gens que j'avais un ami
Qui mourut, loin de sa ville, un soir d'hiver
Pendant que la grêle battait fenêtres et toits unis
Dans la tristesse d'un mois de Décembre austère

Je le revois, sur son lit, le sourire qui luit
Malgré de fortes convulsions qui secouent son corps
Il jette un dernier regard à la vie qui le fuit
Puis, c'est la fin : il va mourir, il est mort

L'individu naît, grandit puis meurt : c'est le destin
Nul ne peut se dire qu'il en est épargné
Tous, autant que nous sommes, nous suivrons ce chemin
Nous n'avons pas à nous en être effrayés

Vivre. Vivre, le plus longtemps, était son désir
Mais le destin, décidant, autrement, il partit
Pour ne faire de peine à personne, sans avertir
Emporté par une mort insensible aux oublis

De toutes ses entailles, il a aimé la vie
Mais a-t-il oublié que personne n'est éternel?
Notre tour viendra, Nous les vivants en sursis
Et nous le rejoindrons au divin Appel

Se rappelle-t-il l'enfance, passé lointain?
Période douce de la vie qui ne s'efface
De sitôt, de la mémoire, aussi bien demain
Que dans cent ans et qui reste, toujours, vivace

La grandeur de l'homme est vertu historique
Dans celui qui a laissé une trace maîtresse
Avoir réalisé une œuvre, accompli un acte héroïque
Lui, il a donné la plus chère : sa Jeunesse

Ain-Séfra, joyau du Sud Oranais, ville d'orgueil
Berceau du sacrifice, elle l'a bercé, longtemps
Aimante, elle l'a gratifié de son soleil
Le couvant les saisons : de l'automne au printemps
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Je conterai aux gens que j'avais un ami
Qui mourut, loin de sa ville, un soir d'hiver
Pendant que la grêle battait fenêtres et toits unis
Dans la tristesse d'un mois de Décembre austère

Je le revois, sur son lit, le sourire qui luit
Malgré de fortes convulsions qui secouent son corps
Il jette un dernier regard à la vie qui le fuit
Puis, c'est la fin : il va mourir, il est mort

L'individu naît, grandit puis meurt : c'est le destin
Nul ne peut se dire qu'il en est épargné
Tous, autant que nous sommes, nous suivrons ce chemin
Nous n'avons pas à nous en être effrayés

Vivre. Vivre, le plus longtemps, était son désir
Mais le destin, décidant, autrement, il partit
Pour ne faire de peine à personne, sans avertir
Emporté par une mort insensible aux oublis

De toutes ses entailles, il a aimé la vie
Mais a-t-il oublié que personne n'est éternel?
Notre tour viendra, Nous les vivants en sursis
Et nous le rejoindrons au divin Appel

Se rappelle-t-il l'enfance, passé lointain?
Période douce de la vie qui ne s'efface
De sitôt, de la mémoire, aussi bien demain
Que dans cent ans et qui reste, toujours, vivace

La grandeur de l'homme est vertu historique
Dans celui qui a laissé une trace maîtresse
Avoir réalisé une œuvre, accompli un acte héroïque
Lui, il a donné la plus chère : sa Jeunesse

Ain-Séfra, joyau du Sud Oranais, ville d'orgueil
Berceau du sacrifice, elle l'a bercé, longtemps
Aimante, elle l'a gratifié de son soleil
Le couvant les saisons : de l'automne au printemps
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Writer: Mahiddine Brezini
Copyright: Lyrics © O/B/O DistroKid

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Remy Brezini - Mon ami d'enfance Video
(Show video at the top of the page)


Performed By: Remy Brezini
Length: 12:56
Written by: Mahiddine Brezini
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