Puisqu'il faut être deux pour pouvoir être heureux, enfin, c'est ce qu'on nous dit dans les histoires
Encore dix ans de nous, à en devenir fou au fond, je sais qu'il est déjà trop tard
Une vie à s'étonner de devoir tout donner, sans rien recevoir en retour
Un souffle à s'égarer, à défaut d'ignorer, tous ces appels de l'amour
Il me dit "Eh, Eh Eh"
Les nuits passent et je me sens
"Ah ah aha"
Comme
Ivre d'un rire qui, comme un écho, me renverse, je me déchaine
Au rythme de tes mains sur ma peau, de tes promesses à tes lèvres
Comme envolées nos histoires, j'ai beau
Te laisser croire que tu m'aimes, mais je ne suis plus la même
La même non
La même, non
La même, non
La même, non
Plus la même
La même, non
La même, non
La même, non
D'un dessin effacé, d'un souffle, tu rennais dans les troubles de ma mémoire
Une joie qui m'emprisonne et encore, je te donne mes secrets, l'ombre d'un espoir
Au fond, je sais que c'est mieux à défaut d'être deux d'ignorer nos sentiments
On fera moins d'envieux, on se retrouvera plus vieux
Mélancolique, c'est charmant
"Eh, Eh Eh"
Les nuits passent et je me sens
"Ah ah aha"
Comme
Ivre d'un rire qui, comme un écho, me renverse, je me déchaine
Au rythme de tes mains sur ma peau, de tes promesses à tes lèvres
Comme envolées nos histoires, j'ai beau
Te laisser croire que tu m'aimes, mais je ne suis plus la même
La même non
La même, non
La même, non
La même, non
Plus la même
La même, non
La même, non
La même, non
La même, non
La même, non
La même, non
Plus la même
La même, non
La même, non
La même, non