Après la terre j'ai vu la marrée
Nous faire des signes de bienvenue
Bonjour le sel, adieu les misères
Enfermé dans la capitale du chahut
Tu mets des kicks sur un scooter qu'on a trouvé
On part sous le vent froid du matin
La brume pique l'adhésion des roues givrées
On est collé serré, on est bien
On est bien
Par ici, ici là, maintenant je me vois
Pas à Paris, ni en Espagne
Envie d'une île auprès de moi
Tarara, tararatata tatara
Envie d'une île auprès de moi
Tarara, tararatata tata
Le phare sublime, le fond de tes yeux
Du bleu au jaune, je vois l'horizon
S'effacer après des heures de déconne
L'heure de retrouver la maison
On n'a pas laissé éteint le feu qu'on avait laissé
Ces jeux qu'on avait laissés en l'état
On se refera du thé
Et on passera l'été
Ouais, comme ça
Comme ça
Par ici, ici là, maintenant je me vois
Pas à Paris, ni même à Cannes, non non
Par ici, ici là, maintenant je me vois
Pas à Paris ni en Espagne
Envie d'une île auprès de moi
Tarara, tararatata tatara
Envie d'une île auprès de moi
Tarara, tararatata tata
Envie d'une île auprès de moi
Tarara, tararatata tatara
Envie d'une île auprès de moi
Tarara, tararatata tara
Par ici, ici là, maintenant je me vois
Pas à Paris, ni même à Cannes, non non
Par ici, ici là, maintenant je me vois
Pas à Paris, ni en Espagne
Envie d'une île auprès de moi
Tarara, tararatata tatara
Envie d'une île auprès de moi
Tarara, tararatata tata
Envie d'une île auprès de moi
Tarara, tararatata tatara
Envie d'une île auprès de moi
Tarara, tararatata tara