Marie Madalen, du fond du passéLe printemps ramène les longues journéesLes journées de peine dans les champs de bléDe Monsieur Etienne de KérandoaréMari Madalen, Mari plac'h gwechallLe printemps ramène les longues journées,Diwezhiou labour, er parkou segal,Parkou braz an Aotrou Stephan KérandoaréLe dimanche elle le voyait prier dans l'église de HédéDieu tu l'aimais, soumise, effacée, il ne t'a jamais regardée.Yuna Madalen, un siècle a passéLe printemps ramène les longues journéesPlus lourde est la chaîne quand revient l'étéPour une ouvrière de chez KérandoaréYuna Madalen, goude kant goan,Le printemps ramène les longues journéesRe bounner ar bec'h pa ze gouezh an hanv,'Vit ur vicherouez eus ti Kérandoaré.Mais le dimanche pendant qu'il va chasser aux garennes de HédéTu vas à Rennes, tu vas dessiner sur l'usine un poing noirserré.